#Geneathème, #ChallengeAZ 2024, lignée PATY & JOUIN, Sosa 128
Le Généathème du mois de mai 2024 nous offrait la possibilité de chercher notre double généalogique.
« Inutile de chercher un autre Sydney, dans la famille, c’est simple, il n’y en a qu’un et c’est moi ! Le seul, l’unique, le meilleur des chats ! »
Ça va ? Tes pattes de chats ne sont pas trop enflées ?! Incroyable !
Je me suis prise au jeu et j’ai cherché de mes filles jusqu’à leurs grands-parents, qui pouvait bien avoir un double généalogique. Bien sûr retrouver un prénom, c’est relativement simple mais retrouver à l’identique la combinaison « patronyme et prénom », alors là, on diminue les probabilités.
« Alors qui sont les grands gagnants ? »
Pour le découvrir nous partons dans la branche paternelle de mes filles et ce sont leurs grands-parents paternels qui ont chacun un double généalogique.
Je vous présente ce jeune homme de 32 ans : Il a revêtu son seul et unique costume et c’est accompagné de sa mère qu’il se dirige vers la maison commune de La Colombe (41) pour y prendre comme épouse la jeune couturière Marie Anne COUTANCEAU le 11 juin 1811. Orpheline de père, sa mère la mène vers son futur en leur donnant la bénédiction parentale tant désirée.
Il est déclaré à sa naissance PASTI Jean Pierre sans le précieux trait d’union qui apparaîtra sur son acte de mariage et de décès.
Il est baptisé le jour même de sa naissance le 7 février 1779 à Conie (28-Eure-et-Loir) avec pour parrain Jean HIDOINE et marraine Marie Jeanne ROBILLARD. Les parents ne signent pas le registre.
Il aime l’espace , sa terre. Il aime vivre dehors entre ses labours et ses bêtes qu’il surveille d’un œil acéré.
A la mort de sa femme, il va régulièrement chez son frère à Tripleville, où il décède un beau jour de …
« Stop ! Stop ! Je ne suis pas d’accord, il ne compte pas lui, le patronyme est orthographié différemment ! «
Bien vu, mais il reprend une orthographe telle qu’on la connaît sur son acte de mariage et sur son acte de décès. Donc nous sommes bien en présence d’un double généalogique avec mon beau-père et le grand-père de mes filles : Jean-Pierre PÂTY. Seulement cinq générations les séparent.

Et comme un double en cache un autre, son frère Louis Pierre Adrien nomme son fils Jean-Pierre PÂTY !!
Regarde sa signature …
« Oh ! Il y a même l’accent sur le A !!
Quelle élégance !! Mais dis-moi, il s’est marié avec une dame nommée Thérèse JOUIN »
Non, la ressemblance ne va pas jusque-là, mais il existe bien un double généalogique de Thérèse JOUIN, ma belle-mère et grand-mère de mes filles. Il faut remonter 4 générations pour rencontrer Thérèse Véronique JOUIN qui est une collatérale, sœur de François Désiré JOUIN, qui est donc son arrière-arrière-grand-père.
» Oui, je viens de la trouver sur le logiciel, elle s’est mariée à Orsay et elle a eu au moins quatre enfants. »
Alors si tu fais les recherches à ma place, je rends ma casquette !!
« Nan, c’est juste pour prouver que je te suis et que tes explications sont claires. Et maintenant j’attaque la lettre E »
Ah, OK alors à demain, cher lecteur pour la lettre E comme …
« E comme …. En route pour une petite sieste !!! »
Pas facile ce Généatheme ! mais quand on cherche on trouve , la plupart du temps !
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