Au revoir 2021 ! Bonjour 2022 !!

#Sosa2022, Lignée SIARD, Génération XI,

Traditionnellement, Janvier est le mois de la distribution des bons vœux. Pourtant cette tradition est relativement récente et ..anglaise ! Les « Christmas cards » étaient l’occasion de souhaiter de bonnes fêtes de la nativité durant la période de l’avent et par extension d’envoyer de bons présages pour la nouvelle année à venir.

En France, la tradition ancestrale des vœux est peu à peu oubliée : les visites du nouvel an. De façon tout à fait rituelle et formelle, on rendait visite, dans les quinze jours qui suivaient le 1er janvier, à son entourage proche, famille et amis, mais aussi à ses collègues de travail, à son patron, et même à des familles pauvres ou des malades. L’idée était d’embellir ces jours festifs par des cadeaux et des marques d’amitié. Les étrennes du nouvel sont une survivance de cette tradition. La contrainte de ces visites est peu à peu remplacée par la distribution de cartes de vœux permettant ainsi de renouer des liens familiaux entre des membres éloignés d’une même famille ou pour reprendre contact avec des amitiés essoufflées.

Les technologies et l’individualisme des sociétés rendant les liens amicaux et familiaux de plus en plus vulnérables en cours d’année, cette période de Janvier permet à chacun de reprendre un rythme de vie plus serein, de partager sagesse, gentillesses et solidarité. C’est ainsi que les vœux perdurent, sous des formes très technologiques mais aussi sous toutes leurs formes traditionnelles : Cartes, Visites physiques, téléphone.

Plus que jamais, avec ce que nous vivons en ce XXIème siècle, cette période est nécessaire à chacun pour se sentir aimé, apprécié et renvoyer dans le cœur des gens tout notre amour et notre amitié.

Avec vous donc, je partage tous mes vœux pour cette nouvelle Année 2022 et je profite de cette publication pour vous présenter notre Sosa 2022 !!!

Traditionnelle Galette, signe de partage qui cache bien des surprises, n’hésitez pas à cliquer !!!

Le Sosa 2021 nous avait donné bien du fil à retordre, sa découverte fut une véritable expédition. Je vous épargnerais donc celle de 2022 et vous offrant la solution :

Bonjour cher ancêtre, sosa 2022 au patronyme bien fruité : François POMMERET, mais qui es tu donc ?

Tu es un jeune garçon né le 09 Novembre 1728 à Neuf-Marché, dans un petit village normand mais dont l’histoire chargée emmène notre imagination vers des conquêtes et des batailles interminables de chevaliers.

Bâti le long de l’ancienne voie gallo romaine reliant Beauvais à Rouen et suivant le tracé de  l’Epte, rivière qui sépare le Beauvaisis de la Normandie et dont le point de passage se situe au pont de Bretel, Neuf-Marché était déjà un village fortifié et sera un haut lieu de batailles pour défendre « la frontière » entre le royaume de France et celui d’Angleterre. Mais il n’en demeure pas moins vrai que le village subira les mêmes invasions que la Normandie. D’abord celle des vikings qui en feront un vaste « duché » prospère. Puis Neuf Marché sera sous la coupe des rois d’Angleterre, de Guillaume le conquérant à Richard Cœur de Lion, puis des rois français de Philippe Auguste à Henri V d’Angleterre, qui reprit le village en 1429 et détruisit le Château.

Neuf-Marché – comme le reste de la Normandie –  restera anglais jusqu’en 1450. Avec la fin de la guerre de 100 ans, la population augmente, la prospérité s’installe. Ce calme relatif -malgré les guerres de religion – durera jusqu’en 1689 date à laquelle la guerre reprendra avec les anglais.

A l’aube du siècle des lumières, le Pays de Bray est surtout agricole. L’élevage laitier y est de plus en plus important et restera le fer de lance du village jusqu’à nos jours.

Mais revenons à ton histoire, François : ton prénom, tu en as hérité de ton parrain François LEFEBVRE. Ton acte de baptême nous donne aussi l’identité de ta marraine, Catherine FLAMENT. On découvre que ton père se prénomme Martin et que ta mère serait Marie RABAN. Malheureusement, ils ne seront plus de ce monde pour assister à ton union avec Marie Catherine MANSIRE 26 ans après. Tu ne sembles pas avoir quitter les terres normandes. Mais quel est ton métier ? As tu eu d’autres enfants que Jeanne Françoise qui a vu le jour en 1758 ? Je ne peux répondre à toutes ces questions ce soir, mais comme tous nos ancêtres, tu m’offres l’occasion de continuer une enquête tout aussi passionnante.

A bientôt !

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