#ChallengeAZ, Lignée GOURCI, Génération VIII, Sosa 189
« Oh non, c’est pas drôle, ça !! Je me suis habitué, moi, à venir m’installer sur tes genoux, sur la couverture et à surveiller tous tes écrits… quelle déception ! »
Mais ne t’inquiète pas Sydney, quand il n’y en a plus, il y en a encore !!! La généalogie est infinie, elle offre tant de recherches possible que même si l’on croit avoir fini, il reste toujours un petit détail à confirmer, à sourcer…
D’ailleurs regarde : Je n’ai aucune profession commençant par un Y… mais il existe dans notre arbre généalogique un patronyme dont la première lettre est un Y.
Je te présente Louise Joséphine YSON, l’arrière grand-mère maternelle de l’arrière grand-mère de mon mari, tu me suis toujours ?
« Heu… pas trop, non, je n’ai pas assez de griffes aux pattes pour compter les arrières de arrières de…. »
Louise Joséphine, dont les prénoms sont un condensé de ceux des épouses de Napoléon Ier, Joséphine de Beauharnais et Marie-Louise d’Autriche, voit le jour le 29 Septembre 1829 au fond du perche beauceron dans la petite commune de La Bazoche-Gouët, historiquement surnommée « La Pouilleuse ». Fille de Jean-François et de Marie Catherine GUILLEMIN, elle semble être l’unique enfant de ce couple de simples gens. Journaliers, Gouverneur ( de terre ?).
Une vie faite de simples gestes du quotidien emmène Louise Joséphine aux portes de l’église Saint Jean-Baptiste, construite du XIIIe au XVIe siècle, d’allure assez imposante avec ses cinq pignons de collatéraux pointus, un beau portail et des vitraux à la gloire des Bourbon Conti. C’est dans cette ambiance intimiste qu’elle s’unie à Jean Louis AUVRAY, originaire de Miermaigne (28), le 11 Novembre 1851. Pour fêter cela ils ont probablement déguster les plats traditionnels percheron de la région à savoir la « routie » de pain grillé au cidre, et la « caquille », un carré de porc cuit dans le cidre et entouré de pommes fruits, des tripes, des champignons et du gibier qui niche dans les bois avoisinants.
Ils auront 4 enfants au gré des années, 2 filles et 2 garçons, mais leur histoire est une autre histoire.
Mais avec Louise Joséphine, le patronyme YSON disparait de notre famille le 08 Juin 1908.
« C’est bien triste comme fin. Donc le titre tient bien l’article : des YSON, chez nous, Y en n’a plus ! »

Déjà ! Y’en n’a vraiment plus ??
Au moins est-ce que nous retrouverons Sidney, pour deviser sur la généalogie ?
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Il a tant été apprécié qu il n est pas impossible qu il fasse un retour, à condition qu il lache la souris de l ordinateur !!!
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